Hallucinogènes :
conséquences

Les chiffres-clés concernant les conséquences de la consommation d'hallucinogènes.

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Conséquences

0.1% des personnes admises en traitement dans les institutions spécialisées en Suisse le sont pour un problème principal de consommation d’hallucinogènes (données de 2024).

Conséquences de la consommation d’hallucinogènes : Chiffres-clés

0.1% des personnes admises en traitement dans les institutions spécialisées en Suisse le sont pour un problème principal de consommation d'hallucinogènes (données de 2022).
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Le nombre de dénonciations pour consommation d'hallucinogènes est de 352 pour la psilocybine et de 191 pour le LSD, ce qui correspond à 1.7% de toutes les dénonciations en lien avec les drogues illicites (données de 2023).
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Traitements pour problèmes d’hallucinogènes

La part des personnes admises en traitement pour un problème principal ou secondaire de consommation d’hallucinogènes est d’environ 3-4% et n’a guère évolué entre 2006 et 2022. Les hallucinogènes sont surtout mentionnés en tant que problème secondaire au côté d’autres substances qui constituent le problème principal.

Poursuites pénales liées à la consommation d’hallucinogènes : dénonciations

Le nombre de dénonciations pour consommation de LSD était au plus haut en 1996, puis a diminué jusqu’en 2002, pour ensuite augmenter à nouveau. Depuis 2022, on constate une légère diminution.

Les données sur les dénonciations pour consommation de psilocybines (champignons hallucinogènes) ne sont collectées que depuis 2004. Le nombre de dénonciations a augmenté dès 2010, et l’on constate une augmentation importante entre 2022 et 2023.